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Suffisamment célèbre pour n'être connue que par ses initiales, B.B., Brigitte Bardot a laissé une marque indélébile sur le cinéma, la mode et la culture populaire en France et dans le reste du monde. Elle émerge, jeune mannequin et starlette d'une beauté à couper le souffle, au début des années 1950. Et Dieu… créa la femme (1956), le premier film où elle apparaît en blonde, lui confère une célébrité planétaire et la transforme en symbole sexuel et emblème de la modernité pour toute une génération.
Bien qu'elle ait arrêté de tourner en 1973, Bardot est toujours présente dans les medias, en raison de ses campagnes en faveur des animaux, de ses opinions politiques controversées et de son refus de tricher sur son âge et les effets du vieillissement. Légende vivante qui suit sa voie avec courage et sincérité, sans se soucier de l'opinion, B.B. est plus qu'une star, c'est un mythe qui fascine.

Aujourd'hui Bardot aime répéter qu'elle se moque de sa carrière cinématographique. Et pourtant cette carrière continue de fasciner le public. Ce livre témoigne de la permanence de son mythe et est un hommage à sa beauté, à son courage et à sa modernité.


16,90

Un destin singulier, un artiste puissant, un homme libre que les mots dévoilent avec justesse, force et pudeur. Artiste magnifique et extravagant, Gérard Depardieu se laisse conduire depuis l'enfance par sa voix intérieure. Elle lui dicte sa vie, ses choix, sa façon d'être et de regarder le monde. C'est cette voix, d'une absolue sincérité, que ce livre est parvenu à capter pour la première fois. Dès la première page, Gérard Depardieu nous ouvre son âme, on entre dans son monologue intime et, ainsi, on se met à regarder le monde avec ses yeux.
Les yeux d'un enfant qui n'aurait pas dû naître, dont l'école n'a pas voulu, qui n'a rien à perdre puisqu'il ne possède rien et qui va passer sa vie à forcer le destin. Voyou à quatorze ans, devenu comédien par hasard, il a inventé sa vie en homme libre, sans préjugés ni attaches, ignorant les codes, entrant où il avait envie d'entrer et s'accordant partout le soleil. " Je ne dirais pas : qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse, écrit-il, mais plutôt : donnez-moi ce flacon que je m'enivre de ce que je ne sais pas


61,00

En 1955, François Truffaut rencontre Alfred Hitchcock pour les Cahiers du cinéma. En 1962, Jules et Jim vient consacrer son talent de cinéaste et il prépare La peau douce (1964), de son aveu même le plus hitchcockien de ses films. Aux États-Unis, Hitchcock, avec Frenzy (1962), est au faîte de sa créativité et de son succès. Mais les critiques restent réticents.Naît alors l'idée du «Hitchbook» : un livre dont Truffaut serait l'initiateur, le «provocateur» même, et qui révèlerait la vraie nature de l'homme, vulnérable, sensible, et aussi les secrets perdus que détiennent les grands cinéastes qui ont commencé à l'époque du muet.Hitchcock accepte le principe de répondre à 500 questions portant exclusivement sur sa carrière. Pendant cet entretien qui va durer 4 ans, Truffaut va l'interroger à la façon dont Œdipe allait consulter l'Oracle. Il tentera d'élucider à travers toute l'œuvre de Hitchcock les mécanismes de ce «langage d'émotion» qui est le ressort de son style inimitable et le classe dans la catégorie des «artistes inquiets comme Kafka, Dostoïevski ou Poe».
Avec la collaboration de Helen Scott
Édition définitive


Les redneck movies représentent tout un pan du cinéma d'exploitation américain, qui connut son heure de gloire entre les années 1960 et 1980 - et qui se poursuit aujourd'hui de façon plus diffuse, dans le cinéma de Rob Zombie par exemple. Le genre gagnera ses lettres de noblesse au début des années 1970 avec Délivrance (1971) de John Boorman ou Massacre à la tronçonneuse (1974) de Tobe Hooper, et envahira outre-Atlantique le cinéma et même les écrans de télévision, au point que l'on parle de la hicksploitation, hick voulant dire péquenaud.
Deux courants principaux dans cette tradition cinématographique : le premier présente soit des citadins trop sûrs d'eux confrontés aux moeurs et aux manières primitives de la campagne, un univers violent de survie et de pauvreté où émergent les instincts les plus refoulés et brutaux, soit la peinture d'un univers inquiétant et dégénéré en dehors des lois et des normes urbaines. L'autre tendance est moins sombre et plus populaire, avec des bons gars de la campagne, revendant de l'alcool de contrebande, poursuivis par des shérifs niais et des hordes de malfrats.
Tout cela se règle dans des courses-poursuites en voitures sur fond de musique bluegrass, avec pour seuls décors une station-service, un café, des fermes isolées et des routes. L'ouvrage, très richement illustré et bénéficiant d'entretiens inédits (avec John Boorman, Tobe Hooper, Jeff Lieberman, David Worth, Glen Coburn, Yves Boisset, William Grefé...), met les mains dans la boue pour découvrir une Amérique représentée par cet autre cinéma, étrange, poisseux, dégénéré, écrasé sous un soleil de plomb.
L'auteur est remonté aux origines du stéréotype populaire du redneck pour retracer le contexte socio-historique et mieux comprendre cette esthétique. Certains films évoqués sont des classiques du cinéma, d'autres sont totalement obscurs, presque introuvables. Vous découvrirez donc ici autant de chefs-d'oeuvre que de nanars, autant de joyaux noirs que de films fauchés. Le genre est aussi exploré dans toute sa richesse (porno paillard, cannibalisme hillbilly, créatures des marais, comédies de ploucs, slashers ruraux, etc.) et dans l'impact qu'il a pu avoir en dehors des frontières américaines, y compris dans le cinéma actuel.


14,90

C'est bien connu, dans la grande famille du cinéma français, tout le monde s'adore. Jamais un mot plus haut que l'autre. Jamais une once de méchanceté. On s'aime, on se complimente, on rivalise de mots d'amour. Emu par ce tsunami de pensées positives, Philippe Durant a décidé d'en établir un florilège édifiant.