- EAN13
- 9782402107464
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Paris-Méditerranée)
- Date de publication
- 1996
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Pour remettre les idées en place, ou à leur place, et les suivre pas à pas
dans l’actualité, une collection qui met « les pieds dans le plat de
l’opportunisme contemporain, lequel plat n’est, comme chacun sait, qu’une
vulgaire assiette au beurre » (René Crevel). Que faire… de l’art et de la
poésie quand un parti « communiste », auréolé par Octobre, vous somme de les
sacrifier sur son autel au nom des intérêts supérieurs de la Révolution ?
Benjamin Fondane s’interroge et questionne, en marge du Congrès des écrivains
tenu à Paris en 1935. Tentative désespérée, car le stalinisme et le nazisme
paralysent les esprits. La Révolution que Fondane affronte est en réalité une
contre-révolution, ennemie mortelle de toute liberté de penser. Après avoir
stigmatisé « Moscou la gâteuse », Louis Aragon, officie désormais en grand
inquisiteur de la foi nouvelle. Dans sa préface, Louis Janover éclaire cet
arrière-plan. Il montre aussi pourquoi, à l’heure du « tout capital »,
l’écrivain se retrouve, comme hier Fondane, confronté au problème de la
révolution.
dans l’actualité, une collection qui met « les pieds dans le plat de
l’opportunisme contemporain, lequel plat n’est, comme chacun sait, qu’une
vulgaire assiette au beurre » (René Crevel). Que faire… de l’art et de la
poésie quand un parti « communiste », auréolé par Octobre, vous somme de les
sacrifier sur son autel au nom des intérêts supérieurs de la Révolution ?
Benjamin Fondane s’interroge et questionne, en marge du Congrès des écrivains
tenu à Paris en 1935. Tentative désespérée, car le stalinisme et le nazisme
paralysent les esprits. La Révolution que Fondane affronte est en réalité une
contre-révolution, ennemie mortelle de toute liberté de penser. Après avoir
stigmatisé « Moscou la gâteuse », Louis Aragon, officie désormais en grand
inquisiteur de la foi nouvelle. Dans sa préface, Louis Janover éclaire cet
arrière-plan. Il montre aussi pourquoi, à l’heure du « tout capital »,
l’écrivain se retrouve, comme hier Fondane, confronté au problème de la
révolution.
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