- EAN13
- 9782895443209
- Éditeur
- Éditions MultiMondes
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782895443209
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
15.99
Le début du 20e siècle nous avait annoncé la disparition imminente de ce que
Karl Marx avait appelé «l’opium du peuple» et Sigmond Freud «la névrose de
l’humanité». La fin du siècle nous a plutôt montré qu’après un déclin relatif,
la religion a repris de la vigueur. Comment expliquer cette persistance du
religieux ? Comment expliquer l’universalité de ce que nous appelons
«religion» et qui s’observe à toutes les époques, dans toutes les régions du
monde, dans toutes les cultures et dans toutes les sociétés humaines, du
Paléolithique jusqu’à l’ère spatiale ? Comment expliquer ce besoin apparemment
irrépressible qu’a l’humain de créer du surnaturel ? Comment expliquer le
besoin, l’universalité et la persistance du religieux ? Ce livre propose de
nouvelles réponses à ces questions éternelles en recourant à la théorie de
l’évolution. En se référant aux avantages adaptatifs liés à l’appartenance
religieuse, à la morale sociale, au comportement ritualiste et à la croyance
au surnaturel, l’interprétation développée dans cet essai conduit à considérer
le religieux comme un phénomène dérivé des mécanismes cognitifs nécessaires à
la vie sociale. De la neurothéologie à la «religion du chimpanzé» en passant
par les différences entre hommes et femmes, l’auteur explique en termes clairs
et vulgarisés les fondements biologiques du sentiment d’appartenance, du geste
rituel, de l’altruisme et de notre « irrépressible » anthropomorphisme.
Karl Marx avait appelé «l’opium du peuple» et Sigmond Freud «la névrose de
l’humanité». La fin du siècle nous a plutôt montré qu’après un déclin relatif,
la religion a repris de la vigueur. Comment expliquer cette persistance du
religieux ? Comment expliquer l’universalité de ce que nous appelons
«religion» et qui s’observe à toutes les époques, dans toutes les régions du
monde, dans toutes les cultures et dans toutes les sociétés humaines, du
Paléolithique jusqu’à l’ère spatiale ? Comment expliquer ce besoin apparemment
irrépressible qu’a l’humain de créer du surnaturel ? Comment expliquer le
besoin, l’universalité et la persistance du religieux ? Ce livre propose de
nouvelles réponses à ces questions éternelles en recourant à la théorie de
l’évolution. En se référant aux avantages adaptatifs liés à l’appartenance
religieuse, à la morale sociale, au comportement ritualiste et à la croyance
au surnaturel, l’interprétation développée dans cet essai conduit à considérer
le religieux comme un phénomène dérivé des mécanismes cognitifs nécessaires à
la vie sociale. De la neurothéologie à la «religion du chimpanzé» en passant
par les différences entre hommes et femmes, l’auteur explique en termes clairs
et vulgarisés les fondements biologiques du sentiment d’appartenance, du geste
rituel, de l’altruisme et de notre « irrépressible » anthropomorphisme.
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