- EAN13
- 9782896643189
- Éditeur
- Éditions du Septentrion
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
« Canadiens » de l'expédition Lewis et Clark, 1804-1806 (Les)
La traversée d'un continent
Michel Chaloult
Éditions du Septentrion
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782896643189
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
16.99
Trouver une voie navigable à travers les Amériques pour atteindre les Indes,
la Chine, l’Asie ! Voilà le grand projet, à la suite de bien d’autres, du
président Thomas Jefferson. La mission est confiée à Meriwether Lewis et
William Clark. À la tête d’un corps expéditionnaire d’une quarantaine
d’hommes, ils se lancent dans une aventure qui durera près de deux ans et
demi.Partis de Saint-Louis en mai 1804, ils explorent le cours du Missouri,
franchissent les interminables Rocheuses, rejoignent le majestueux Columbia,
atteignent le Pacifique puis reviennent aux États-Unis, c’est-à-dire à l’est
du Mississippi, en septembre 1806.Leur épopée est devenue un des mythes
fondateurs de l’histoire des États-Unis.Et quelle épopée ! Au départ, les
risques étaient grands. Il y avait les déserts, les montagnes de roches
enneigées à perte de vue, les tribus potentiellement hostiles, les féroces
grizzlys, un fleuve sans fin, l’immensité de l’inconnu. Il y avait aussi les
Indiens hospitaliers, les Mandans, Shoshones, Nez-Percés, des personnages
fascinants tels Sacagawea la femme-oiseau, Georges Drouillard l’homme « de
grand mérite », et aussi les troupeaux de bisons, la vallée-jardin du
Missouri, le « Big Sky » de l’Ouest comme le décrira plus tard J. J. Audubon.
Ceux qui en reviennent ne sont plus tout à fait les mêmes, aujourd’hui comme
hier.Pour un Québécois, suivre la piste de Lewis et Clark, c’est aussi prendre
conscience de son américanité et de la profondeur de ses racines sur le
continent.
la Chine, l’Asie ! Voilà le grand projet, à la suite de bien d’autres, du
président Thomas Jefferson. La mission est confiée à Meriwether Lewis et
William Clark. À la tête d’un corps expéditionnaire d’une quarantaine
d’hommes, ils se lancent dans une aventure qui durera près de deux ans et
demi.Partis de Saint-Louis en mai 1804, ils explorent le cours du Missouri,
franchissent les interminables Rocheuses, rejoignent le majestueux Columbia,
atteignent le Pacifique puis reviennent aux États-Unis, c’est-à-dire à l’est
du Mississippi, en septembre 1806.Leur épopée est devenue un des mythes
fondateurs de l’histoire des États-Unis.Et quelle épopée ! Au départ, les
risques étaient grands. Il y avait les déserts, les montagnes de roches
enneigées à perte de vue, les tribus potentiellement hostiles, les féroces
grizzlys, un fleuve sans fin, l’immensité de l’inconnu. Il y avait aussi les
Indiens hospitaliers, les Mandans, Shoshones, Nez-Percés, des personnages
fascinants tels Sacagawea la femme-oiseau, Georges Drouillard l’homme « de
grand mérite », et aussi les troupeaux de bisons, la vallée-jardin du
Missouri, le « Big Sky » de l’Ouest comme le décrira plus tard J. J. Audubon.
Ceux qui en reviennent ne sont plus tout à fait les mêmes, aujourd’hui comme
hier.Pour un Québécois, suivre la piste de Lewis et Clark, c’est aussi prendre
conscience de son américanité et de la profondeur de ses racines sur le
continent.
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