- Format
- Broché
- EAN13
- 9782369426998
- ISBN
- 978-2-36942-699-8
- Éditeur
- Nouveau Monde éditions
- Date de publication
- 14/06/2018
- Collection
- NME.BIOGRAPHIES
- Nombre de pages
- 500
- Dimensions
- 22,5 x 14 x 2,6 cm
- Poids
- 607 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Plus j’avais combattu ses idées, ses projets, plus je m’étais
attaché à ne lui prononcer que des paroles de paix, plus
j’ai cru lui devoir de dévouement, quand tout ce que je lui
avais en quelque sorte prédit est arrivé. »
C’est par ces mots qu’Armand de Caulaincourt, duc de Vi-
cence (1773-1827), conclut ses célèbres Mémoires et fait
le bilan de ses années aux côtés de Napoléon. Officier de
cavalerie originaire de la noblesse picarde, Caulaincourt
est nommé grand écuyer de l’Empire en 1804. Napoléon le
destine pourtant à une carrière de diplomate.
Envoyé comme ambassadeur à Saint-Pétersbourg, il dé-
fend avec ferveur l’alliance franco-russe et s’oppose à la
campagne de Russie. En vain. Confirmant ses prédictions,
le désastre de la Bérézina en 1812 apparaît comme le fon-
dement de son rôle politique durant les dernières années
de l’Empire.
Devenu pour l’opinion « l’homme de la paix »
et nommé à la tête du ministère des Relations extérieures,
il traite avec les coalisés lors des congrès de Prague (1813)
et de Châtillon (1814), avant de négocier l’abdication de
Napoléon.
À travers le parcours de Caulaincourt, c’est le tableau de
toute la diplomatie française de la fin de l’Empire que
dépeint ici Olivier Varlan, des jeux d’influence aux confi-
dences de l’Empereur.
attaché à ne lui prononcer que des paroles de paix, plus
j’ai cru lui devoir de dévouement, quand tout ce que je lui
avais en quelque sorte prédit est arrivé. »
C’est par ces mots qu’Armand de Caulaincourt, duc de Vi-
cence (1773-1827), conclut ses célèbres Mémoires et fait
le bilan de ses années aux côtés de Napoléon. Officier de
cavalerie originaire de la noblesse picarde, Caulaincourt
est nommé grand écuyer de l’Empire en 1804. Napoléon le
destine pourtant à une carrière de diplomate.
Envoyé comme ambassadeur à Saint-Pétersbourg, il dé-
fend avec ferveur l’alliance franco-russe et s’oppose à la
campagne de Russie. En vain. Confirmant ses prédictions,
le désastre de la Bérézina en 1812 apparaît comme le fon-
dement de son rôle politique durant les dernières années
de l’Empire.
Devenu pour l’opinion « l’homme de la paix »
et nommé à la tête du ministère des Relations extérieures,
il traite avec les coalisés lors des congrès de Prague (1813)
et de Châtillon (1814), avant de négocier l’abdication de
Napoléon.
À travers le parcours de Caulaincourt, c’est le tableau de
toute la diplomatie française de la fin de l’Empire que
dépeint ici Olivier Varlan, des jeux d’influence aux confi-
dences de l’Empereur.
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