- EAN13
- 9782234066922
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 31/10/2007
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782234066922
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C’est un événement. Simone Veil accepte enfin de se raconter à la première
personne.
De son enfance niçoise dans une famille juive complètement assimilée, et de sa
déportation à Auschwitz avec sa mère et l’une de ses sœurs en mars 1944,
jusqu’à ses fonctions les plus récentes, elle a su s’imposer comme une figure
singulière et particulièrement forte dans le paysage politique français. Femme
libre s’il en est, elle a exercé le pouvoir sans jamais le désirer pour lui-
même mais pour améliorer, autant qu’elle l’a pu, les conditions de vie de ses
concitoyens : à l’administration pénitentiaire, puis au ministère de la Santé
dans le gouvernement Chirac sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing –
c’est là qu’elle fait voter, contre son camp, la loi sur l’IVG ; à la
présidence du Parlement européen, où elle se montre capable de tenir tête au
Premier Ministre français, Raymond Barre ; comme ministre des Affaires
Sociales, de la Santé et de la Ville dans le gouvernement dirigé par Balladur
et présidé par François Mitterrand ; au Conseil constitutionnel ainsi qu’à la
Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Fidèle à ce qu’elle estime être la fonction des rescapés des camps de la mort,
elle a témoigné, chaque fois qu’elle l’a pu, en France comme partout, de son
expérience d’Auschwitz.
Mais cette femme de mémoire n’est jamais nostalgique, jamais passéiste, elle
n’a souci que du monde de demain, celui qu’elle lèguera à ses petits-enfants
et à ses arrière-petits enfants dont la place est grande dans sa vie.
Elle a beaucoup voyagé, rencontré la plupart des « grands » de ce monde, vécu
de près les événements majeurs du XXe siècle. Elle en parle sans forcer sa
voix, mais on l’entend.
personne.
De son enfance niçoise dans une famille juive complètement assimilée, et de sa
déportation à Auschwitz avec sa mère et l’une de ses sœurs en mars 1944,
jusqu’à ses fonctions les plus récentes, elle a su s’imposer comme une figure
singulière et particulièrement forte dans le paysage politique français. Femme
libre s’il en est, elle a exercé le pouvoir sans jamais le désirer pour lui-
même mais pour améliorer, autant qu’elle l’a pu, les conditions de vie de ses
concitoyens : à l’administration pénitentiaire, puis au ministère de la Santé
dans le gouvernement Chirac sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing –
c’est là qu’elle fait voter, contre son camp, la loi sur l’IVG ; à la
présidence du Parlement européen, où elle se montre capable de tenir tête au
Premier Ministre français, Raymond Barre ; comme ministre des Affaires
Sociales, de la Santé et de la Ville dans le gouvernement dirigé par Balladur
et présidé par François Mitterrand ; au Conseil constitutionnel ainsi qu’à la
Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Fidèle à ce qu’elle estime être la fonction des rescapés des camps de la mort,
elle a témoigné, chaque fois qu’elle l’a pu, en France comme partout, de son
expérience d’Auschwitz.
Mais cette femme de mémoire n’est jamais nostalgique, jamais passéiste, elle
n’a souci que du monde de demain, celui qu’elle lèguera à ses petits-enfants
et à ses arrière-petits enfants dont la place est grande dans sa vie.
Elle a beaucoup voyagé, rencontré la plupart des « grands » de ce monde, vécu
de près les événements majeurs du XXe siècle. Elle en parle sans forcer sa
voix, mais on l’entend.
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