- Format
- Broché
- EAN13
- 9782268089867
- ISBN
- 978-2-268-08986-7
- Éditeur
- Éditions du Rocher
- Date de publication
- 11/01/2017
- Collection
- Histoire
- Nombre de pages
- 196
- Dimensions
- 21,6 x 14 x 1,5 cm
- Poids
- 268 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Autre version disponible
L'épopée du communisme a marqué la vie politique et intellectuelle du xxe siècle. Tout a pourtant commencé par la prise du pouvoir en Russie par un petit groupe d'hommes, les bolcheviks. Appuyé sur des documents d'archives inédits, ce livre nous introduit dans l'intimité inavouable des acteurs principaux de la Révolution russe.
Rejetant l'épique et le monumental au profit de l'intime et de l'humain, ce récit rigoureux prend parfois des allures d'enquête policière, voire de roman d'espionnage alors que tout est pourtant vrai, argumenté, référencé. C'est la grande originalité du livre de Victor Loupan qui nous fait passer des caves de la Tcheka aux salons feutrés de Wall Street, des geôles sibériennes aux cafés à la mode des capitales européennes. En se penchant sur la part invisible de la Révolution russe, il ouvre des portes restées fermées jusqu'ici.
Voyant le nom de Léon Trotski dans les journaux, le maître d'hôtel du célèbre Café central de Vienne s'exclame : « C'est ce gars-là qui a pris le pouvoir en Russie ? Mais il me doit encore de l'argent pour des consommations ! » Au fil des mois passés dans l'intimité souvent choquante de Lénine, de Trotski et d'autres acteurs de la Révolution, nous comprenons vraiment ce qui s'est passé.
Rejetant l'épique et le monumental au profit de l'intime et de l'humain, ce récit rigoureux prend parfois des allures d'enquête policière, voire de roman d'espionnage alors que tout est pourtant vrai, argumenté, référencé. C'est la grande originalité du livre de Victor Loupan qui nous fait passer des caves de la Tcheka aux salons feutrés de Wall Street, des geôles sibériennes aux cafés à la mode des capitales européennes. En se penchant sur la part invisible de la Révolution russe, il ouvre des portes restées fermées jusqu'ici.
Voyant le nom de Léon Trotski dans les journaux, le maître d'hôtel du célèbre Café central de Vienne s'exclame : « C'est ce gars-là qui a pris le pouvoir en Russie ? Mais il me doit encore de l'argent pour des consommations ! » Au fil des mois passés dans l'intimité souvent choquante de Lénine, de Trotski et d'autres acteurs de la Révolution, nous comprenons vraiment ce qui s'est passé.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
L'empire de la télé-réalité, ou comment accroître le "temps de cerveau humain disponible"Damien Le GuayPresses de la Renaissance