- Format
- Broché
- EAN13
- 9782754012096
- ISBN
- 978-2-7540-1209-6
- Éditeur
- First
- Date de publication
- 15/04/2009
- Nombre de pages
- 219
- Dimensions
- 22,6 x 14,6 x 2 cm
- Poids
- 298 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 330.122
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Au secours, ils veulent la peau du capitalisme !
petites leçons sur l'économie de marché à l'usage de ses détracteurs
De Nicolas LECAUSSIN
First
Ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain
Depuis l'éclatement de la crise financière, à l'automne 2008, les responsables politiques de tous bords tirent à boulets rouges sur le capitalisme ? dénonçant ses " dérives " et réclamant, sinon sa fin, du moins sa réforme et sa " moralisation " ? et appellent à la " nécessaire intervention " de l'Etat.
L'on voit même des libre-échangistes notoires aboyer avec la meute. La cause est entendue : c'est la faute au marché !
Dictées par l'opportunisme ou par une culture économique sommaire, ces déclarations ne résistent pas à l'analyse. Certes, la responsabilité de certains banquiers, dirigeants de fonds d'investissement ou simples courtiers, est engagée. Mais sur le fond la crise est moins due à " trop " de libéralisme qu'à " pas assez ".
S'inscrivant dans la longue durée, ce livre rappelle le rôle prépondérant du capitalisme dans le progrès économique et social. S'appuyant sur des exemples concrets et des données chiffrées, il balaye les jugements à l'emporte pièce, et dénonce l'action des pompiers pyromanes qui voudraient éteindre l'incendie en règlementant toujours plus le système.
Depuis l'éclatement de la crise financière, à l'automne 2008, les responsables politiques de tous bords tirent à boulets rouges sur le capitalisme ? dénonçant ses " dérives " et réclamant, sinon sa fin, du moins sa réforme et sa " moralisation " ? et appellent à la " nécessaire intervention " de l'Etat.
L'on voit même des libre-échangistes notoires aboyer avec la meute. La cause est entendue : c'est la faute au marché !
Dictées par l'opportunisme ou par une culture économique sommaire, ces déclarations ne résistent pas à l'analyse. Certes, la responsabilité de certains banquiers, dirigeants de fonds d'investissement ou simples courtiers, est engagée. Mais sur le fond la crise est moins due à " trop " de libéralisme qu'à " pas assez ".
S'inscrivant dans la longue durée, ce livre rappelle le rôle prépondérant du capitalisme dans le progrès économique et social. S'appuyant sur des exemples concrets et des données chiffrées, il balaye les jugements à l'emporte pièce, et dénonce l'action des pompiers pyromanes qui voudraient éteindre l'incendie en règlementant toujours plus le système.
S'identifier pour envoyer des commentaires.