- Format
- Broché
- EAN13
- 9782352041085
- ISBN
- 978-2-35204-108-5
- Éditeur
- Les Arènes
- Date de publication
- 14/05/2010
- Collection
- politique actualités
- Nombre de pages
- 275
- Dimensions
- 27 x 25 x 2,3 cm
- Poids
- 1540 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 070
- Fiches UNIMARC
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Télérama 60 ans : nos années culture
Volume 1
Dirigé par Nicolas Delesalle
Préface de Fabienne Pascaud
Les Arènes
politique actualités
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"Télérama 60 ans" - Tome 1 et [[2,EAN:9782352041092]] - est le fruit d’une collaboration étroite entre Rachel Grundstein et Laurent Beccaria, éditeurs aux Arênes et les équipes de Télérama, notamment le journaliste Nicolas Delesalle.
Publié à l’occasion de l’anniversaire du magazine (3150 bougies ou numéros), ces deux ouvrages couvrent un large demi-siècle, soit toutes les histoires du journal à découvrir à travers une large sélection d’articles et de documents inédits (fac-similés) et une iconographie foisonnante.
Magazine culturel unique au monde, dédié à la fois à l’actualité des ondes « au commencement était la radio » puis des images animées, la télé, les cinés clubs, Télérama est devenue au fil de ses chroniques, un poste d’observation privilégié des pratiques culturelles d’une élite populaire éprise de cinéma, de musiques, de lecture et d’exposition, au sortir de la guerre, d’un groupe social, dans le sillage des pères fondateurs du journal (deux anciens résistants et trois dominicains) représentatif à l’époque de la frange progressiste de la jeunesse catholique et des grands mouvements d’éducation populaire. (Tout comme l’ont été Le Monde ou la maison d’édition Le Seuil)
Laurent Beccaria : « ce qui nous a frappé, à la lecture de tous les anciens numéros de Télérama depuis sa création le 22 janvier 1950, est qu’il traite en permanence de l’actualité la plus éphémère qui soit mais dont nous parvenons à dégager, malgré tout sur les répétitions, les permanences. On a là un poste d’observation unique qui nous permet de regarder le monde à travers un œil singulier. Toute la culture n’y est pas embrassée, des choix sont faits et marque l’esprit du journal et des générations qui le lisent. »
« En tant que lecteur, le plus significatif, est de noter la qualité d’écriture des journalistes et leur très grande sincérité. Jusque dans les années 80, ils sont sans réelle distance entre ce qu’ils pensent et ce qu’ils écrivent. Cette lucidité est prospective. À partir des années 90, les journaux, Télérama compris, perdent l’exclusivité de la diffusion de l’information auprès du grand public ; ils deviennent une voix parmi d’autres et commencent à introduire des éléments de différenciation, donc le marketing dans leur production. »
Les deux tomes de Télérama 60 ans peuvent être parcourus indépendamment l’un de l’autre, en butinant les thèmes ou événements évoqués au fil des articles ou lu comme un ouvrage de référence sur cette page de notre histoire culturelle.
Publié à l’occasion de l’anniversaire du magazine (3150 bougies ou numéros), ces deux ouvrages couvrent un large demi-siècle, soit toutes les histoires du journal à découvrir à travers une large sélection d’articles et de documents inédits (fac-similés) et une iconographie foisonnante.
Magazine culturel unique au monde, dédié à la fois à l’actualité des ondes « au commencement était la radio » puis des images animées, la télé, les cinés clubs, Télérama est devenue au fil de ses chroniques, un poste d’observation privilégié des pratiques culturelles d’une élite populaire éprise de cinéma, de musiques, de lecture et d’exposition, au sortir de la guerre, d’un groupe social, dans le sillage des pères fondateurs du journal (deux anciens résistants et trois dominicains) représentatif à l’époque de la frange progressiste de la jeunesse catholique et des grands mouvements d’éducation populaire. (Tout comme l’ont été Le Monde ou la maison d’édition Le Seuil)
Laurent Beccaria : « ce qui nous a frappé, à la lecture de tous les anciens numéros de Télérama depuis sa création le 22 janvier 1950, est qu’il traite en permanence de l’actualité la plus éphémère qui soit mais dont nous parvenons à dégager, malgré tout sur les répétitions, les permanences. On a là un poste d’observation unique qui nous permet de regarder le monde à travers un œil singulier. Toute la culture n’y est pas embrassée, des choix sont faits et marque l’esprit du journal et des générations qui le lisent. »
« En tant que lecteur, le plus significatif, est de noter la qualité d’écriture des journalistes et leur très grande sincérité. Jusque dans les années 80, ils sont sans réelle distance entre ce qu’ils pensent et ce qu’ils écrivent. Cette lucidité est prospective. À partir des années 90, les journaux, Télérama compris, perdent l’exclusivité de la diffusion de l’information auprès du grand public ; ils deviennent une voix parmi d’autres et commencent à introduire des éléments de différenciation, donc le marketing dans leur production. »
Les deux tomes de Télérama 60 ans peuvent être parcourus indépendamment l’un de l’autre, en butinant les thèmes ou événements évoqués au fil des articles ou lu comme un ouvrage de référence sur cette page de notre histoire culturelle.
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Télérama a 60 ans : Décryptage
Article de Nicolas Delesalle paru dans Télérama n° 3154