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Alors voilà, Les 1001 vies des Urgences
Format
Broché
EAN13
9782213677873
ISBN
978-2-213-67787-3
Éditeur
Fayard
Date de publication
Collection
Documents
Nombre de pages
380
Dimensions
21,5 x 13,5 x 2,3 cm
Poids
440 g
Langue
français
Code dewey
616.025092
Fiches UNIMARC
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Alors voilà

Les 1001 vies des Urgences

De

Fayard

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Alors voilà le récit au quotidien d’un apprenti médecin qui joue des claquettes entre les différents services des Urgences avec ses co-internes. Là, pendant sept jours, il décrit à une patiente en stade terminal ce qui se passe sous les blouses et dans les couloirs. Pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre. Se nourrissant de situations bien réelles, vécues par lui ou par ses collègues, chirurgiens ou aides-soignants, Baptiste Beaulieu passe l’hôpital au scanner. Il peint avec légèreté et humour les chefs autoritaires, les infirmières au grand cœur, les internes gaffeurs, les consultations qui s’enchaînent, les incroyables rencontres avec les patients... Par ses histoires d’une sensibilité folle, à la fois touchantes et drôles, il restitue tout le petit théâtre de la comédie humaine. Un bloc d’humanité.

Né en 1985, Baptiste Beaulieu est interne à l’hôpital. Il a reçu en janvier 2013 le prix Alexandre-Varney pour son blog « Alors voilà », pour une réconciliation soignants/soignés, aussitôt remarqué par la presse et plébiscité par les lecteurs. Alors voilà : les 1001 vies des Urgence est son premier livre.
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Commentaires des libraires

Conseillé par (Libraire)
14 mars 2014

Humain malgré tout

Il est interne et raconte la vie de tous les jours aux Urgences... Ce que je trouve bien, c'est qu'il prend son métier à coeur. Pour les enfants, les vieilles personnes, il trouve les paroles rassurantes, les mots qui soulagent. ...

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"Alors voilà" - Les 1001 vies des Urgences
Le , L'Armitière

« C’est une pépite d’humanité ; une façon de raconter, comme nulle autre pareille, l’incroyable quotidien de l'hôpital. C’est drolatique, pathétique, tragique. Baptiste est aux services hospitaliers ce que Martin Winckler, avec La Maladie de Sachs (POL, 1998), fut au médecin généraliste : le révélateur d’un quotidien qui nous concerne tous et que nous redoutons tous »

(Sandrine Blanchard, Le Monde, 30 janvier 2013).

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