Voilà une réédition qui nous enchante, le classique de Louis Chevalier nous contant le Montmartre du XIX siècle entre ombres et lumières. En effet, il aborde le Montmartre des cabarets ou l'on peut apercevoir Bruant, Toulouse-Lautrec, Fréhel etc. Mais également le Montmartre interlope où le crime et la mort sont omniprésents.
Ce très gros travail d'érudition est en plus écrit dans un style léger et enthousiaste.
Précipitez- vous dans ce Paris canaille!

Voilà une réédition qui nous enchante, le classique de louis Chevalier nous contant le Monimartre du XIX siècle entre ombres et lumieres . En effet il aborde le Montmartre des cabarets ou' on peut apercevoir Bruant , Toulouse-Lautrec ,Fréhel etc... Mais également le Montmartre interlope ou le crime et la mort est omniprésent.
Ce très gros travail érudition est en plus écrit dans un style enchanteresse, précipitez vous dans ce Paris canaille .

Ce livre est un recueil regroupant les chroniques que l' auteur a publiées durant dix ans dans la revue CQFD parlant de son quotidien dans une usine d'engrais chimiques .
Ces tranches de vies sont à la fois dures, oppressantes mais également pleine d'espérance et de bonheur comme le monde ouvrier peut en vivre .
L' ouvrage est écrit dans un style sobre ,sans fioritures ,avec en guise d'encre la sueur et le courage des travailleurs.

Il y a des moments, quand on ouvre un livre, on ne se rend pas toujours compte de la force qu' il a; pour cet ouvrage: si! Dès le début, cette nouvelle édition du classique de J-M Roberts est intense et lumineuse.
La meilleure histoire du monde,comme le disent les médias anglo-saxons, se lit comme un roman qu' on ne peut plus lâcher, vivement le 17 février pour la sortie du volume 2 et le 10 mars pour celle du volume 3.

Georges Walter , décédé juste après la rédaction de ce récit , nous narre les derniers instants de la vie de Joseph Kessel .
Ce livre est intense comme la solide amitié qu'a eue l'auteur avec Kessel mais également comme l'amour fou qu'il y a eu entre le vieux lion et sa femme .
A ce propos , Walter fait un très beau portrait de Michèle O'brien , lui rendant enfin justice.
Le titre du livre évoque le récit tabou autour de Raissa , la mère de Kessel que l' auteur des cavaliers n 'a jamais voulu écrire.
Le livre est écrit de manière somptueuse, alternant les anecdotes cocasses et celles émouvantes dans un style simple et léger.
Une splendeur!