- EAN13
- 9782072680267
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 13/10/2016
- Collection
- Blanche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782072680267
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
24.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782072680274
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
24.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Gallimard 36,00
En 1962, un homme politique français de quarante-six ans rencontre à Hossegor,
chez ses parents, une jeune fille de dix-neuf ans. La première lettre qu'il
lui adresse le 19 octobre 1962 sera suivie de mille deux cent dix-sept autres
qui se déploieront, sans jamais perdre de leur intensité, jusqu'en 1995, à la
veille de sa mort. Les lettres de celui qui fut deux fois président de la
République nous dévoilent des aspects totalement inconnus d'un homme
profondément secret que chacun croyait connaître. Deux lettres, parmi des
centaines, témoignent de la constance de cet amour. 15 novembre 1964 : "Je
bénis, ma bien-aimée, ton visage où j'essaie de lire ce que sera ma vie. Je
t'ai rencontrée et j'ai tout de suite deviné que j'allais partir pour un grand
voyage. Là où je vais je sais au moins que tu seras toujours. Je bénis ce
visage, ma lumière. Il n'y aura plus jamais de nuit absolue pour moi. La
solitude de la mort sera moins solitude. Anne, mon amour." Et la
correspondance prend fin le 22 septembre 1995 : "Tu m'as toujours apporté
plus. Tu as été ma chance de vie. Comment ne pas t'aimer davantage?"
chez ses parents, une jeune fille de dix-neuf ans. La première lettre qu'il
lui adresse le 19 octobre 1962 sera suivie de mille deux cent dix-sept autres
qui se déploieront, sans jamais perdre de leur intensité, jusqu'en 1995, à la
veille de sa mort. Les lettres de celui qui fut deux fois président de la
République nous dévoilent des aspects totalement inconnus d'un homme
profondément secret que chacun croyait connaître. Deux lettres, parmi des
centaines, témoignent de la constance de cet amour. 15 novembre 1964 : "Je
bénis, ma bien-aimée, ton visage où j'essaie de lire ce que sera ma vie. Je
t'ai rencontrée et j'ai tout de suite deviné que j'allais partir pour un grand
voyage. Là où je vais je sais au moins que tu seras toujours. Je bénis ce
visage, ma lumière. Il n'y aura plus jamais de nuit absolue pour moi. La
solitude de la mort sera moins solitude. Anne, mon amour." Et la
correspondance prend fin le 22 septembre 1995 : "Tu m'as toujours apporté
plus. Tu as été ma chance de vie. Comment ne pas t'aimer davantage?"
S'identifier pour envoyer des commentaires.