- EAN13
- 9782246810353
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 02/10/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782246810353
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
6.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Grasset 12,90
Parus en 1926, ces Souvenirs sur Marcel Proust réunissent des lettres de
Marcel Proust à Robert Dreyfus. La correspondance commence lorsque le premier
a 17 ans, en 1888, et se termine en 1920, deux ans avant sa mort. Nous suivons
l’écrivain à chaque époque de sa vie : du lycée Condorcet aux années
d’écriture d’À la recherche du temps perdu, en passant par ses premières
mondanités. Proust y parle d’amitié, de salons mais aussi de littérature. Il
évoque Gobineau, Ruskin. Robert Dreyfus encadre ces courriers de notations
autobiographiques, de portraits et de rapprochements critiques entre la vie et
l’œuvre de son ami.
La nouvelle présentation de l’ouvrage révèle aussi quelques mystères. Dreyfus
a censuré certaines expressions de Proust en les remplaçant par des mots qu’il
jugeait plus convenables. Les « affectueusement » de Marcel Proust deviennent
« bien à toi », par exemple. Bienséance, quand tu nous tiens…
Une promenade dans l’intimité d’un des plus grands romanciers français du XXe
siècle.
Marcel Proust à Robert Dreyfus. La correspondance commence lorsque le premier
a 17 ans, en 1888, et se termine en 1920, deux ans avant sa mort. Nous suivons
l’écrivain à chaque époque de sa vie : du lycée Condorcet aux années
d’écriture d’À la recherche du temps perdu, en passant par ses premières
mondanités. Proust y parle d’amitié, de salons mais aussi de littérature. Il
évoque Gobineau, Ruskin. Robert Dreyfus encadre ces courriers de notations
autobiographiques, de portraits et de rapprochements critiques entre la vie et
l’œuvre de son ami.
La nouvelle présentation de l’ouvrage révèle aussi quelques mystères. Dreyfus
a censuré certaines expressions de Proust en les remplaçant par des mots qu’il
jugeait plus convenables. Les « affectueusement » de Marcel Proust deviennent
« bien à toi », par exemple. Bienséance, quand tu nous tiens…
Une promenade dans l’intimité d’un des plus grands romanciers français du XXe
siècle.
S'identifier pour envoyer des commentaires.