- EAN13
- 9782709637596
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 04/05/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Yocandra vient « d’une île qui avait voulu construire le paradis et s’est
transformée en enfer ». Née de fervents communistes cubains, elle s’est
d’abord appelée Patrie, avant de se réinventer sous le nom de Yocandra. Quand
elle parvient enfin à quitter l’île, elle rejoint Miami, comme tant de Cubains
exilés. À Little Habana, c’est le vertige, l’urgence, à chaque instant, on
espère, on prie, bientôt Cuba sera libre. Gagnée par l’amertume, Yocandra fuit
Miami pour rejoindre Paris. Dès son arrivée, son quotidien est envahi par les
Cubains. Partout où elle va, ils sont là, comme si elle n’avait jamais quitté
Cuba. À l’hôtel Monaco, l’immeuble borgne où elle a élu domicile, on parle
plus espagnol que français, même les chiens ont l’accent de l’île. Dans
l’avion, dans la rue, en bas de chez elle, elle ne cesse de croiser le même
homme, Fidel Raùl, dont elle acceptera finalement l’aide pour faire sortir sa
mère de Cuba. En cherchant à aider Le Nihiliste, son premier amour, Yocandra
va connaître l’amertume de l’exil, le passé qui vous rattrape dans une course
pour la liberté. Avec ce roman tragi-comique, Zoé Valdés signe une suite
bouleversante au texte qui l’a fait connaître auprès du public français.
Traduit de l’espagnol par Albert Benssoussan
transformée en enfer ». Née de fervents communistes cubains, elle s’est
d’abord appelée Patrie, avant de se réinventer sous le nom de Yocandra. Quand
elle parvient enfin à quitter l’île, elle rejoint Miami, comme tant de Cubains
exilés. À Little Habana, c’est le vertige, l’urgence, à chaque instant, on
espère, on prie, bientôt Cuba sera libre. Gagnée par l’amertume, Yocandra fuit
Miami pour rejoindre Paris. Dès son arrivée, son quotidien est envahi par les
Cubains. Partout où elle va, ils sont là, comme si elle n’avait jamais quitté
Cuba. À l’hôtel Monaco, l’immeuble borgne où elle a élu domicile, on parle
plus espagnol que français, même les chiens ont l’accent de l’île. Dans
l’avion, dans la rue, en bas de chez elle, elle ne cesse de croiser le même
homme, Fidel Raùl, dont elle acceptera finalement l’aide pour faire sortir sa
mère de Cuba. En cherchant à aider Le Nihiliste, son premier amour, Yocandra
va connaître l’amertume de l’exil, le passé qui vous rattrape dans une course
pour la liberté. Avec ce roman tragi-comique, Zoé Valdés signe une suite
bouleversante au texte qui l’a fait connaître auprès du public français.
Traduit de l’espagnol par Albert Benssoussan
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