- EAN13
- 9782846793513
- Éditeur
- Ginkgo
- Date de publication
- 30/06/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782846793513
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
6.99 -
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Papier - Ginkgo 8,00
« Il faudrait imaginer un Tolstoï presque inconnu des Français, un Dostoïevski
peu ou mal traduit, un Tchekhov ignoré. Hypothèse invraisemblable, mais qui
permet de mesurer combien est étrange la méconnaissance de l’œuvre de
Bounine... »
Ivan Bounine fut le premier écrivain russe à recevoir le prix Nobel de
littérature, en 1933, alors qu’il était en exil en France et que l’U.R.S.S.
s’attendait à voir Maxime Gorki, son écrivain officiel, être récompensé. Ce
recueil contient sept des plus belles nouvelles de l’écrivain: Trois roubles,
La Grammaire de l’amour, Nuit en mer, Coup de soleil, Casimir Stanislavovtich,
Ida, Le Sarafane de Mordovie. Sept variations autour de l’homme, de la femme,
de l’amour, pour une œuvre où tragique et lyrisme se condensent en une
méditation sur l’âme russe.
« La vraie grammaire de Bounine prédit l’imprévisible gestation de la beauté
dans le magma du vécu. La beauté se cristallise, prend forme, mûrit. [...] Le
lieu commun romanesque appelé amour est vécu dans une telle densité de
perception que le réel en sort transfiguré. »
(extraits de la préface d’Andreï Makine)
peu ou mal traduit, un Tchekhov ignoré. Hypothèse invraisemblable, mais qui
permet de mesurer combien est étrange la méconnaissance de l’œuvre de
Bounine... »
Ivan Bounine fut le premier écrivain russe à recevoir le prix Nobel de
littérature, en 1933, alors qu’il était en exil en France et que l’U.R.S.S.
s’attendait à voir Maxime Gorki, son écrivain officiel, être récompensé. Ce
recueil contient sept des plus belles nouvelles de l’écrivain: Trois roubles,
La Grammaire de l’amour, Nuit en mer, Coup de soleil, Casimir Stanislavovtich,
Ida, Le Sarafane de Mordovie. Sept variations autour de l’homme, de la femme,
de l’amour, pour une œuvre où tragique et lyrisme se condensent en une
méditation sur l’âme russe.
« La vraie grammaire de Bounine prédit l’imprévisible gestation de la beauté
dans le magma du vécu. La beauté se cristallise, prend forme, mûrit. [...] Le
lieu commun romanesque appelé amour est vécu dans une telle densité de
perception que le réel en sort transfiguré. »
(extraits de la préface d’Andreï Makine)
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