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Collection "EquinoX" à l'honneur.

"L’équinoxe désigne ce moment précis où le jour est égal à la nuit, où le blanc et le noir s’entremêlent et les frontières se troublent.
Le roman noir a toujours été une littérature critique, une littérature du dévoilement de ce qui ne va pas de soi dans le monde qui nous entoure.
EquinoX, c’est une collection noire qui entend gratter là où ça fait mal. Tel un chien fou qui viendrait
mordre les mollets des doux rêveurs pour les ramener à la réalité.
EquinoX est une collection organique, née de la fusion entre mes dix-sept ans de balade dans le pays du noir et chez Gallimard, et les vingt ans de créativité et d’engagement des Arènes. Ce sont des rencontres intenses entre des auteurs qui partagent la même ambition que nous : dépasser le clivage entre culture populaire et culture littéraire et porter le fer sur toutes les plaies (politiques, économiques, sociales ou psychologiques).
Comme dans une famille, on ne pense pas la même chose – un auteur ne trouvera pas de police de la pensée ou du bon goût chez EquinoX! – mais tous les auteurs ont comme nous le sentiment qu’il s’agit d’une grande aventure, comme il en arrive une fois dans une vie : créer un univers à partir d’une page blanche.
Illustrées par des dessinateurs de renom, les couvertures sont là pour nous rappeler que chaque livre de la collection sera une histoire unique, non renouvelable.
EquinoX épouse la diversité du genre et ne s’interdit rien.
Enfin EquinoX est un cri d’amour lancé aux auteurs francophones, qui forment la grande cohorte des auteurs de la collection. Bien sûr, il y aura des anglophones – comment construire une collection noire en faisant l’impasse sur le continent où il est né? – mais la présence de ces auteurs anglo-saxons sera le fruit de hasards objectifs, pour reprendre André Breton, lui aussi un grand défenseur de la littérature de genre". Aurélien Masson

16,00

Une escouade de policiers prend d'assaut la chaumière auvergnate de Berthe, 102 ans, qui n'hésite pas à tirer sur eux. Placée en garde à vue, elle passe aux aveux et relate sa vie à l'inspecteur Ventura. Il y est question de meurtriers en cavale, de veuve noire et d'un nazi enterré dans une cave.


9,90

Qui rêverait de naître à Joliet, dans l’Illinois ? Pas Suzy Kosasovich en tout cas. Elle a grandi là, parmi les ouvriers et les églises, entre les barges des canaux et les trains de marchandises, élevée dans la crainte de Dieu et l’effacement de soi.
Mais Suzy a un rêve : être acceptée par les ados du quartier. Ceux qui fréquentent le bar de Fat Kuputzniak, où ils viennent étancher leurs frustrations et leur haine.
L’occasion lui est offerte le Vendredi saint.
Une nuit de cruauté et de violence, sans rédemption.


9,90

C’est un pays perdu. Un pays agenouillé, humilié, sous le joug d’une poignée de dirigeants de start-up. Soudain, il surgit de nulle part. Il n’a pas vingt-trois ans.
Maigre comme sont les chiens de combat, le visage marqué parfois, arcades fraîchement refermées, pommettes étoilées de sang séché, phalanges éclatées. Il possède ce mélange de douleur, de mémoire et de fragilité qui mène certains hommes à la violence. Il se porte aux côtés de ceux qui ne sont rien.
Il allume un feu dans la plaine…


18,00

À Paris, un géant américain braque un joyau de l’industrie française : kidnapping, chantage, extorsion, meurtre. Le hold-up est presque parfait. Le gouvernement ne voit rien. Tout s’achète, et personne ne résiste à la menace.
Sauf deux flics. Noria Ghozali, commandante au Renseignement intérieur. Un nom pas facile à porter en ces temps d’attentats islamistes. Et le commissaire Daquin, dont la carrière est derrière lui. Ils sont bien seuls à s’opposer à ce racket. Est-ce une raison pour renoncer ? Haletant et glaçant, Racket signe le grand retour de Noria Ghozali, l’héroïne fétiche de Dominique Manotti.