- Format
- Broché
- EAN13
- 9782130591665
- ISBN
- 978-2-13-059166-5
- Éditeur
- Presses universitaires de France
- Date de publication
- 28/01/2012
- Séries
- Sociologie comparée du cannibalisme (2)
- Nombre de pages
- 422
- Dimensions
- 21,7 x 15 x 2,2 cm
- Poids
- 588 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 394.9
- Fiches UNIMARC
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2 - Sociologie comparée du cannibalisme. II
La consommation d'autrui en Asie et en Océanie
De Georges Guille-Escuret
Presses universitaires de France
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Un poncif persistant voudrait que le cannibalisme résulte avant tout d’un « manque » de contrôle social. Mais chaque culture pense à sa manière les débordements admissibles et les transgressions intolérables. Et elle anticipe des réponses qui lui paraissent appropriées à des crises prévisibles. Face aux rituels minutieusement organisés de la chasse aux têtes, l’anthropophagie représente alors une modalité variable et changeante d’affronter le désordre.
Ce deuxième volume traverse une partie du monde où la consommation d’autrui prend les formes les plus diverses : depuis la prédation coutumière qui limite la violence entre sociétés égalitaires à quelques jaillissements inattendus au sein d’États soumis à des désarrois exceptionnels. En passant par le chef terrible qui devient surnaturel en accumulant les festins mais ne parvient jamais à s’ériger en souverain légitime.
Docteur en biologie et en ethnologie, Georges Guille-Escuret est chercheur au CNRS (Centre Norbert Elias, Marseille). Il utilise sa double formation pour préciser méthodologiquement les relations nécessaires entre écologie et sciences sociales sur des démarcations troubles : nature/culture, évolution/histoire… Il a publié, en plus du premier tome de Sociologie du cannibalisme portant sur l'Afrique (PUF, 2010), plusieurs essais dont Les sociétés et leurs natures (Armand Colin, 1989), Le décalage humain : le fait social dans l’évolution (Kimé, 1994) et L’anthropologie, à quoi bon ? (L’Harmattan, 1996).
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