- Format
- Broché
- EAN13
- 9782916749075
- ISBN
- 978-2-916749-07-5
- Éditeur
- Fondeurs de brique
- Date de publication
- 05/2008
- Collection
- FONDEURS DE BRI
- Nombre de pages
- 208
- Dimensions
- 20,5 x 13,5 x 1,9 cm
- Poids
- 270 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
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Dormir à terre
Et autres nouvelles
De José Revueltas
Traduit par Philippe Chéron
Fondeurs de brique
Fondeurs De Bri
Offres
Dormir à terre est une anthologie inédite en français des meilleures nouvelles de l’auteur. Elle
s’efforce d’offrir un éventail représentatif de l’art révueltien de la nouvelle, dont le petit chefd’oeuvre
Dormir à terre (1959) donne une idée, tout en privilégiant un tant soit peu les textes
les plus récents, leur facture étant souvent originale et même parfois franchement audacieuse :
c’est le cas de Hegel et moi (1973), qui met en scène, en prison, un truand assimilé au
philosophe allemand par sa manière de discourir ; de Lit numéro onze (1965), qui associe
l’autobiographie à la fantasmagorie ; de Ezéchiel ou le massacre des innocents (1969), qui
transmet une impression obscure de découragement mais laisse entrouverte une porte étroite
à la lutte car il est bien précisé dans les dernières lignes que le personnage « franchit la confusion
des vitres pour entrer dans le bois du monde ».
s’efforce d’offrir un éventail représentatif de l’art révueltien de la nouvelle, dont le petit chefd’oeuvre
Dormir à terre (1959) donne une idée, tout en privilégiant un tant soit peu les textes
les plus récents, leur facture étant souvent originale et même parfois franchement audacieuse :
c’est le cas de Hegel et moi (1973), qui met en scène, en prison, un truand assimilé au
philosophe allemand par sa manière de discourir ; de Lit numéro onze (1965), qui associe
l’autobiographie à la fantasmagorie ; de Ezéchiel ou le massacre des innocents (1969), qui
transmet une impression obscure de découragement mais laisse entrouverte une porte étroite
à la lutte car il est bien précisé dans les dernières lignes que le personnage « franchit la confusion
des vitres pour entrer dans le bois du monde ».
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