Suivez-nous
1, L'Ordre impair - Tome 1 - Anvers 1585
Format
Relié
EAN13
9782803618774
ISBN
978-2-8036-1877-4
Éditeur
Le Lombard
Date de publication
Collection
L'ORDRE IMPAIR (1)
Séries
L'ordre impair (1)
Nombre de pages
48
Dimensions
31 x 23,7 x 1,2 cm
Poids
525 g
Langue
français
Code dewey
741.5
Fiches UNIMARC
S'identifier

1 - L'Ordre impair - Tome 1 - Anvers 1585

De ,

Illustrations de

Le Lombard

L'Ordre Impair

Indisponible

Ce livre est en stock chez 4 confrères du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander

Autre version disponible

Autres livres dans la même série

Tous les livres de la série L'ordre impair
Nord de la France, 1297. Mechtilde d'Arras, jeune mystique, habitée par des «visions», meurt sur le bûcher. Mais son manuscrit sulfureux «Visio veritatis» échappe aux flammes des inquisiteurs. Anvers, 1576. La ville, assiégée par les troupes mutinées de Philippe II, Roi d'Espagne est mise à sac par des mercenaires qui sèment la mort et la désolation. Une jeune fille, Leonora, pleure sa mère, emportée par l'intolérance des hommes. Neuf ans plus tard, toujours déchirée par le chagrin et la colère, elle imprime en mémoire de sa mère l'étrange manuscrit qu'elle lui a légué : «Visio veritatis». Paris, aujourd'hui. Patrick Prada, auteur de romans historiques à succès, raconte, dans un livre à paraître, la fin tragique de Mechtilde. Sa femme, Virginia, conseillère au Cabinet des Affaires Economiques à Bruxelles, est en charge d'un dossier délicat de demande d'autorisation de matériel nucléaire vers l'Inde. Leur destin bascule de façon cruelle lorsque Virginia, en quête d'un cadeau pour Patrick, achète chez un bouquiniste un ouvrage du seizième siècle, scellé par un fermoir, qui s'avère être une édition rare de... «Visio veritatis» de Mechtilde. Présentation de cette nouvelle série dans la rubrique Carte Blanche Auteurs / Inédits.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Cristina Cuadra
Plus d'informations sur Rudi Miel
Plus d'informations sur Paul Teng